dimanche 7 février 2010

Tumulte Réfractaire

Une apologie poignante de la folie psychiatrique en parallèle avec une fustigation occultée de la raison scientifique.

8 commentaires:

  1. Je trouve cette œuvre si transcendante ! Elle exprime vraiment la folie psychiatrique que peu rencontrer un individu dérangé. Elle fait face à sa fustigation, et c'est à cet endroit que je bloque. Fustigation, oui ! Soit ! Mais dans quel sens ? Celui d'une désapprobation véhémente ou d'une punition à coup de verges ? Je me pose cette question car cette œuvre changerai son sens suivant l'un des sens du mot "fustigation". Elle n'en ai pas moins belle.
    Sur ce,
    Veuillez exprimer, messieurs les artistes, l'expression de ma considération distinguée.

    Blandine.

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  2. Je suis surpris et touché que mon œuvre puisse susciter tant de questionnements. Pour éclairer ta lanterne, je dirais tout d'abord que cette peinture met en avant une vision artistique de la folie en révélant au grand jour la complexité et la beauté de chaque cas de démence. Ensuite, cette fresque est à double tranchant et propose en outre une critique sauvage de la raison pure et simple, et par extension, de tout ce qui peut s'opposer à la reconnaissance de la folie légère ou profonde comme un état d'esprit - état d'esprit lié à la création et l'avant-gardisme.

    Cordialement,
    Chevin'

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  3. Ces explications éclaireront mes jours et mes nuits, car dorénavant je vois clair. (ou pas.). Je suis honorée d'avoir l'honneur (O_o ?!) d'obtenir des explications d'un si grand maître en la matière !
    Cela me touche énormément. Quel est la date du vernissage de vos oeuvres, squirel et vous ?

    Amicalement,
    Artemine.

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  4. Oui, flasque, cagette, ou encore quenelle. C'est tout autant de mots que mon acolyte Squirel et moi-même utilisons arbitrairement de temps à autres pour nous interpeller, entre autres. N'aie crainte.

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  5. Girouette, c'est texzacte je dirais maime. Un peu de sérieux, concernant ce processus protocolaire d'identification des mes transcriptions murales, virtuelles, artistiques si j'osais (et j'ose), il n'y a point de lieu, gîte, couvert, séant qui ne tienne place. Je préfère l'anonymat, d'un bloje obscur, déliquescent, amère comme le manche en fer d'une passoire lourde....

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  6. Voilà qui me rassure ... (ils sont décidément tous malades ! =) )

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